Quels sont les effets de la nicotine ?

Quels sont les effets de la nicotine ?
Quels sont les effets de la nicotine ?
Quels sont les effets de la nicotine ?
La nicotine est une substance psychoactive, c’est-à-dire qu’elle agit sur le cerveau. C’est elle qui entraîne la dépendance physique à la cigarette et qui procure plaisir, détente, stimulation intellectuelle, action anxiolytique, antidépressive et coupe-faim. Elle affecte également le système respiratoire et le système cardiovasculaire.
Cette substance est présente naturellement dans le tabac à des taux de concentration variables selon les parties de la plante. On la retrouve sous forme de particules en suspension dans la fumée.
Les industriels du tabac ont nié pendant des années le rôle de la nicotine dans la dépendance. Pourtant, depuis l’ouverture de leurs archives secrètes, on sait qu’ils en ont ajusté soigneusement le dosage pour garantir leurs profits.

Quelles sont les substances responsables des cancers ?

Quelles sont les substances responsables des cancers ?
Quelles sont les substances responsables des cancers
Quelles sont les substances responsables des cancers
Le fumeur d’un paquet par jour inhale 250 ml de goudrons par an, soit l’équivalent de deux pots de yaourt. Les goudrons sont la principale substance responsable des cancers liés au tabagisme.
Ils regroupent un très grand nombre de substances (notamment des hydrocarbures comme le benzène). Ils recouvrent les poumons d’une substance gluante brun-noir et ont aussi un effet nocif sur les tissus et les muqueuses.

Que contient la fumée de cigarette ?

Que contient la fumée de cigarette ?
Que contient la fumée de cigarette ?
Que contient la fumée de cigarette ?
La fumée de cigarette est un aérosol, un mélange de gaz et de particules qui contient 4 000 substances, dont plus de 40 sont cancérigènes. Une cigarette contient du tabac, de la nicotine, des agents de saveur et de texture : c’est ce qu’on lit sur les paquets de cigarettes. Ce qu’on ne sait pas toujours, c’est qu’une fois allumée, la cigarette devient une véritable usine chimique. Sa combustion provoque la formation de très nombreuses substances toxiques, dont les goudrons, des gaz toxiques (monoxyde de carbone, oxyde d’azote, acide cyanhydrique, ammoniac) et des métaux lourds (cadmium, mercure, plomb, chrome).

Les cigarettes roulées sont-elles également nocives ?

Les cigarettes roulées sont-elles également nocives ?
Les cigarettes roulées sont-elles également nocives ?
Les cigarettes roulées sont-elles également nocives ?
Le tabac à rouler est plus nocif que les cigarettes vendues en paquet : leur rendement en nicotine et en goudrons est 3 à 6 fois plus élevé, sans compter que les cigarettes roulées ne contiennent généralement pas de filtre.

Quels sont les procédés utilisés en secret par les industriels ?

Quels sont les procédés utilisés en secret par les industriels ?
Quels sont les procédés utilisés en secret par les industriels ?
Quels sont les procédés utilisés en secret par les industriels ?
Les industriels ajoutent de nombreuses substances au tabac, selon des recettes qu’ils gardent le plus souvent secrètes. Différents arômes (comme la vanille) sont utilisés pour plaire aux jeunes et aux fumeurs débutants. Le cacao servirait à dilater les voies respiratoires pour offrir à la fumée un accès plus facile aux poumons. Le génol et le menthol ont des vertus adoucissantes sur les voies respiratoires et masquent l’effet irritant de la fumée.

S’endormir

S’endormir
S’endormir
S’endormir
Ne laissez pas passer les signes de l'endormissement : quand votre enfant bâille, se frotte les yeux, pleurniche sans motif, il a besoin de dormir.
Préparez son sommeil par des jeux calmes, éventuellement un bain, un petit rituel : une histoire lue, racontée, chantée, un câlin, etc.
Adoucissez la séparation du coucher en réduisant pour un temps le bruit de la maison. Acceptez ce qui apaise l'enfant comme le pouce, le nounours, la veilleuse, le drap sucé ou la tétine.
Ensuite, laissez-le s'endormir seul.

Le sommeil dans la journée

 Le sommeil dans la journée
Le sommeil dans la journée
Le sommeil dans la journée
Jusqu'à 6 mois, l'enfant a souvent besoin de trois siestes : une en fin de matinée et deux dans l'après-midi ; de 9 à 12 mois, la sieste de fin d'après-midi est inutile et de 15 à 18 mois, il ne fait souvent plus qu'une sieste, en début d'après-midi.
À partir de 2 ans, il existe une relation inverse entre temps de sommeil de jour et temps de sommeil nocturne. Plus l'enfant dort pendant la journée, moins il dort la nuit.
Une sieste de 2 à 2 heures 30 maximum est alors recommandée.
Jusqu'à 4 ans, la sieste est un besoin physiologique.
De 4 à 6 ans, certains en ont besoin, d'autres pas. Proposez-la avec conviction, mais ne l'imposez pas.
Dans tous les cas, la durée de la sieste dépend du besoin de récupération. L'idéal est de laisser l'enfant se réveiller tout seul ou de l'aider par des bruits ambiants légers.
À partir de 6 ans, les enfants ont plus besoin de temps libre actif que de sieste.
Si un enfant de plus de 6 ans recommence à faire la sieste tous les jours, ce n'est pas normal.
Il faut alors s'assurer que son temps de sommeil est suffisant et de qualité pour qu'il puisse récupérer de sa fatigue journalière.

Quels sont les traitements autorisés pour les adolescents ?

Quels sont les traitements autorisés pour les adolescents ?
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Certains substituts nicotiniques sont indiqués chez les jeunes qui sont physiquement dépendants du tabac à partir de l’âge de 15 ans, les autres sont indiqués uniquement chez l’adulte. Il convient de demander conseil à son médecin et/ou son pharmacien qui connaissent les indications des différents produits.
Les médicaments tels que le bupropion LP et la varénicline sont indiqués uniquement chez l’adulte et sur prescription médicale.

Que faire si son enfant fume ?

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Que faire si son enfant fume ?
• Essayer de maintenir l’interdit à la maison et d’en expliquer la raison.
L’interdit limite les occasions de fumer et permet de retarder l’installation de la dépendance. Il pourra peut-être favoriser la décision d’arrêter de fumer.
• Informer son enfant sur les aides possibles.
• Lui proposer de consulter un médecin ou de prendre un rendez-vous dans une consultation spécialisée en tabacologie (liste des consultations disponibles sur le site de l’Office Français de prévention du Tabagisme, www.oft-asso.fr ).
• Voir avec lui combien il dépense en cigarettes et ce qu’il pourrait s’offrir pour la même somme, s’il arrêtait de fumer.
Et, bien sûr, maintenir le dialogue à tout prix.

Comment parler du tabac ?

Comment parler du tabac ?
Comment parler du tabac ?
Comment parler du tabac ?
Bien loin d’ « interdire pour interdire », il s’agit avant tout de dialoguer avec ses enfants : l’autorité, dans ce domaine, doit surtout s’exercer dans le dialogue. C’est pourquoi il est important d’instaurer un climat de confiance qui permette d’aborder les sujets qui préoccupent les jeunes. Ces derniers se sentiront ainsi plus à l’aise pour poser librement des questions et seront sans doute plus réceptifs à d’éventuels conseils (sur le tabac mais aussi sur leur scolarité, le sport, leurs relations amicales ou amoureuses…). Même si les adolescents manifestent parfois une volonté de s’opposer à l’autorité ou au discours moral, ils ont besoin de repères afin de pouvoir orienter leurs choix. Grâce au dialogue, l’adolescent peut comprendre les dangers liés à certaines situations, comportements « expériences », même s’il ne les a pas encore vécus lui-même. Il est important de ne pas minimiser ses difficultés et de saisir les occasions de le féliciter ou de l’encourager sur ses choix. Et au-delà des informations qu’on peut lui donner sur le tabac, il s’agit surtout de s’interroger avec lui sur les raisons qui l’ont amené à fumer et de chercher à développer ses propres ressources.

À partir de quel âge peut-on parler du tabac à ses enfants ?

À partir de quel âge peut-on parler du tabac à ses enfants ?
À partir de quel âge peut-on parler du tabac à ses enfants ?
À partir de quel âge peut-on parler du tabac à ses enfants ?
Les parents peuvent aborder la question du tabac avec leurs enfants à partir de 8 ou 9 ans. Mais il n’y a pas de règles valables pour tous.
Ce qui compte avant tout, c’est d’avoir une attitude ouverte et de signifier clairement à l’enfant que ses parents sont prêts à en parler avec lui à tout moment s’il le désire.