Ce ne fut qu’au bout de vingt ans que Jacob revint au pays natal. Encore eut-il la prudence de s’y faire précéder par deux cents chevaux, vingt-deux boucs, vingt béliers, trente chamelles avec leurs petits, quatre-vingts vaches, trois taureaux, vingt ânesses et dix ânons.
C’était le complément de son plat de lentilles, plat que Jacob, en y réfléchissant, avait trouvé bien usuraire.
C’était le complément de son plat de lentilles, plat que Jacob, en y réfléchissant, avait trouvé bien usuraire.
L’Olympe antique, avec lequel nous avons fini, n’est pas très gourmand; il ne mange que de l’ambroisie et ne boit que du nectar. Ce sont les hommes qui, sous ce rapport, donnent le mauvais exemple aux dieux.
On ne dit point des festins de Jupiter, des festins de Neptune, des festins de Pluton. Il paraît même que l’on mangeait fort mal chez Pluton, puisque le Destin supposait qu’après six mois passés dans le royaume de son époux, Proserpine pouvait être encore à jeun. On dit des festins de Sardanapale; des festins de Balthazar.