Se dégager de l’influence de son subconscient
L’apparition de l’image inconnue indique que la personne commence à travailler en circuit ouvert, autrement dit qu’elle est en mesure de projeter hors d’elle-même, directement, le flocon fluidique qui constitue l’image, de se dégager de l’influence de son subconscient et d’être sensible à des vibrations émanées de sources extérieures.
On obtient ce dégagement définitif par concentration sur la dernière image provoquée ; à cet effet, on questionne le sujet, en tous détails, sur les caractéristiques de ce qu’il a vu ou entendu ; autrement dit, s’il s’agit d’une perception visuelle, on lui demande de décrire la forme des objets représentés, leur couleur, leur situation respective, leur ambiance, le sens de la scène ; bref on lui fait examiner toutes les nuances, comme si on voulait se rendre compte aussi exactement que possible de la perception.
En réalité, ce procédé l’oblige à nourrir l’image de son propre fluide, ou, si l’on préfère, intensifier sa vibration. L’image envahit alors le champ de la conscience, s’éloigne du subconscient, poussée en quelque sorte par les questions de l’opérateur, et réveille sur son passage des vibrations nouvelles qu’elle transmet à la conscience et qui se traduisent sous forme de sensations ou de scènes inconnues. Toutefois, cette concentration n’est possible que si l’image se maintient dans le champ de la conscience. Or, au début et chez certaines personnes, elle surgit comme un éclair et disparaît en ne laissant qu’un souvenir fugitif. On apprend au sujet à la fixer par le même procédé que pour la concentration, c’est-à-dire qu’on l’invite à se rappeler l’image, puis on demande de la préciser, et au besoin de compléter d’elle-même les détails manquants, en notant l’impression rapide qui la traverse à chaque question. Par exemple, si l’image a été celle d’une voiture dont elle ne distinguait pas l’attelage, on lui dit : avezvous la sensation qu’elle comporte un ou deux chevaux ? Quelle est leur couleur à votre idée ? On change l’image dès qu’on sent l’effort, et, au bout d’un temps très court, on obtient le degré de fixité qu’on désire ; le cas contraire prouverait que le sujet est en proie à des préoccupations qu’il faudrait chasser.
Le monde qui entoure le subconscient étant illimité, l’image projetée par concentration voguerait au hasard, si on ne prenait soin de l’orienter ; or, c’est précisément la nature de cette orientation qui, comme nous l’avons déjà dit, va déterminer telle ou telle faculté supra-normale. Le processus qui vient d’être indiqué constitue la première phase du développement ; celui de l’orientation forme la seconde phase. La première est commune à toutes les facultés, nous n’aurons plus à y revenir. La seconde varie, au contraire, avec chacune d’elles et nous allons l’indiquer pour chaque cas.
En réalité, ce procédé l’oblige à nourrir l’image de son propre fluide, ou, si l’on préfère, intensifier sa vibration. L’image envahit alors le champ de la conscience, s’éloigne du subconscient, poussée en quelque sorte par les questions de l’opérateur, et réveille sur son passage des vibrations nouvelles qu’elle transmet à la conscience et qui se traduisent sous forme de sensations ou de scènes inconnues. Toutefois, cette concentration n’est possible que si l’image se maintient dans le champ de la conscience. Or, au début et chez certaines personnes, elle surgit comme un éclair et disparaît en ne laissant qu’un souvenir fugitif. On apprend au sujet à la fixer par le même procédé que pour la concentration, c’est-à-dire qu’on l’invite à se rappeler l’image, puis on demande de la préciser, et au besoin de compléter d’elle-même les détails manquants, en notant l’impression rapide qui la traverse à chaque question. Par exemple, si l’image a été celle d’une voiture dont elle ne distinguait pas l’attelage, on lui dit : avezvous la sensation qu’elle comporte un ou deux chevaux ? Quelle est leur couleur à votre idée ? On change l’image dès qu’on sent l’effort, et, au bout d’un temps très court, on obtient le degré de fixité qu’on désire ; le cas contraire prouverait que le sujet est en proie à des préoccupations qu’il faudrait chasser.
Le monde qui entoure le subconscient étant illimité, l’image projetée par concentration voguerait au hasard, si on ne prenait soin de l’orienter ; or, c’est précisément la nature de cette orientation qui, comme nous l’avons déjà dit, va déterminer telle ou telle faculté supra-normale. Le processus qui vient d’être indiqué constitue la première phase du développement ; celui de l’orientation forme la seconde phase. La première est commune à toutes les facultés, nous n’aurons plus à y revenir. La seconde varie, au contraire, avec chacune d’elles et nous allons l’indiquer pour chaque cas.