Combien de choix face aux problèmes ?
Savez-vous comment les chinois représentent le mot « crise » ? Ils utilisent un idéogramme composé de deux éléments : l’un signifie "danger", l'autre "opportunité". Pour eux, cela signifie qu'il y a une continuité entre ces deux concepts qui sont comme les deux faces d'une même pièce de monnaie. L'un ne peut exister sans l'autre, et ils sont toujours présents en même temps.
Savez-vous comment les chinois représentent le mot « crise » ? Ils utilisent un idéogramme composé de deux éléments : l’un signifie "danger", l'autre "opportunité". Pour eux, cela signifie qu'il y a une continuité entre ces deux concepts qui sont comme les deux faces d'une même pièce de monnaie. L'un ne peut exister sans l'autre, et ils sont toujours présents en même temps.
En français, nous utilisons pour en parler, des mots tels que : revers, contretemps, difficulté, moment de crise, malédiction, temps difficiles, dilemme, conflit, contrariété, inconvénient, mauvais moment, détresse, angoisse, doute, échec. Cependant, nous sommes capables de reconnaître que derrière chaque problème il peut y avoir une opportunité.
Il y a des gens qui gèrent chaque difficulté comme s'il s'agissait d'un malheur, même si c'est seulement un problème de faible envergure, comme un embouteillage. D'autres, même s'ils ne se réjouissent pas d'avoir des difficultés, reconnaissent que c'est l'occasion de montrer ce qu'ils savent faire. Ils sont conscients, quand ils ont fait face à un défi de façon satisfaisante, que non seulement ils se sentent plus fiers d'eux-mêmes mais aussi qu'ils se sont entraînés à affronter des situations plus difficiles encore.
Vous dites qu'il y a un problème quand, À VOTRE AVIS, il y a un écart négatif entre ce que les choses sont et ce que VOUS estimez qu'elles devraient être. Par conséquent, pour mettre fin à ce que vous avez qualifié de problématique, il vous faut effectuer un changement qui annule cet écart entre ce qui est et ce qui devrait être. Ce changement peut se faire, tout au moins en théorie, dans les deux sens.
Pratiquement, il y a beaucoup de situations qui peuvent être modifiées pour les rendre plus conformes à ce que nous voulons. Mais il y a aussi une quantité de circonstances où les choses sont ce qu'elles sont et nous ne pouvons rien faire pour les changer.