Lorsque Hortensius fut nommé augure, il donna un grand dîner. Ce fut à ce dîner que l’on servit, pour la première fois, un paon avec toutes ses plumes.
Dans les repas de cérémonie, il y avait toujours un plat composé de cent petits oiseaux, ortolans, becfigues, rouges-gorges et alouettes. Plus tard on fit mieux. On ne servit plus que des langues d’oiseaux qui avaient parlé ou chanté.
Dans les repas de cérémonie, il y avait toujours un plat composé de cent petits oiseaux, ortolans, becfigues, rouges-gorges et alouettes. Plus tard on fit mieux. On ne servit plus que des langues d’oiseaux qui avaient parlé ou chanté.
Dans les repas invités, chaque convive apportait sa serviette. De ces serviettes, quelques-unes étaient de toile d’or. Moins fastueux, Alexandre Sévère avait des serviettes de toile rayée, qu’on faisait pour lui seul.
Trimalcion, le célèbre gourmand chanté par Pétrone, avait des serviettes de toile, mais des essuie-mains de laine. Héliogabale en avait de toile peinte.