Que faire en cas de difficultés ?
On peut néanmoins se heurter à deux grosses difficultés.
D’abord lorsque le sujet, au lieu de se laisser conduire passivement, fait un retour sur lui-même. Il rentre alors dans son subconscient et ne trouve plus comme association que ses propres images, le fil conducteur est coupé. Cela arrive lorsque l’opérateur manque de calme et de précision et que la personne est vive, susceptible ou nerveuse, ou encore lorsqu’un des assistants pose une question impromptue, ou que des bruits dans l’entourage détournent l’attention ;
On peut néanmoins se heurter à deux grosses difficultés.
D’abord lorsque le sujet, au lieu de se laisser conduire passivement, fait un retour sur lui-même. Il rentre alors dans son subconscient et ne trouve plus comme association que ses propres images, le fil conducteur est coupé. Cela arrive lorsque l’opérateur manque de calme et de précision et que la personne est vive, susceptible ou nerveuse, ou encore lorsqu’un des assistants pose une question impromptue, ou que des bruits dans l’entourage détournent l’attention ;
surtout enfin lorsque le sujet raisonne l’opération et doute de son efficacité, soit par manque de confiance en lui-même, soit par l’effet de ses lectures. Dans ce dernier cas, imprégné des idées courantes sur le psychisme, idées plus ou moins justes, il commente ses impressions, les critique et veut les expliquer par les hypothèses qu’il connaît. Naturellement il travaille en circuit fermé, et tout est à recommencer. On remédie à cette difficulté en arrêtant l’expérience et en insistant auprès de la personne pour qu’elle reste aussi passive que possible, et comme elle doute le plus souvent de la réalité de ses impressions subjectives, on s’efforce de lui faire bien comprendre que le point de départ à l’entraînement aux facultés supra-normales étant obligatoirement pris sur ellemême, les premiers phénomènes supra-normaux sont imprégnés de souvenirs et mêlés aux phénomènes normaux de l’imagination.
Le retour au subconscient se produit encore lorsqu’une préoccupation plus ou moins consciente traverse la personne, mais ceci est la conséquence d’un manque d’attention de l’opérateur, qui a laissé trop d’intervalle entre deux questions ; le sujet abandonné à lui-même a été repris par ses propres influences. On le ramène à l’état neutre par des contre-images, mais le mieux est de veiller sur soi-même et d’éviter toute distraction, car une continuité suffisante ne laisse pas de place aux préoccupations.
Le retour au subconscient se produit encore lorsqu’une préoccupation plus ou moins consciente traverse la personne, mais ceci est la conséquence d’un manque d’attention de l’opérateur, qui a laissé trop d’intervalle entre deux questions ; le sujet abandonné à lui-même a été repris par ses propres influences. On le ramène à l’état neutre par des contre-images, mais le mieux est de veiller sur soi-même et d’éviter toute distraction, car une continuité suffisante ne laisse pas de place aux préoccupations.