Comment gerer l’eventualite d’une prise de poids ?
En moyenne, à égalité dʼâge, de sexe et de taille, les fumeurs pèsent à peu près deux kilos de moins que les non-fumeurs.
Cet état de fait est lié à l’action de la nicotine sur le métabolisme :
un fumeur brûle un peu plus de calories qu’un non-fumeur.
Toutefois, si les substituts doublent vos chances de succès, ils ne suppriment pas la dépendance psychologique et comportementale, il faut donc désapprendre à fumer et retrouver un nouvel équilibre.
Par ailleurs, ils ne sont pas les seuls éléments du traitement : équilibrer votre alimentation, votre sommeil, maintenir votre activité physique… en font partie.
Dans les mois qui suivent l’arrêt du tabac, on peut remarquer une prise de poids de quelques kilos, mais cette prise peut varier d’une personne à l’autre. Si cela vous inquiète, n’hésitez pas à en parler à un médecin et à recourir aux conseils d’un diététicien ou d’un médecin nutritionniste.
Dʼune façon générale, il ne faut pas se mettre au régime en même temps que lʼon arrête de fumer : on ne peut pas tout faire à la fois !
Il sʼagit plutôt de respecter quelques règles de bon sens :
- Évitez les aliments gras (charcuterie, pâtisserie, certains fromages, plats en sauce).
- Préférez les viandes maigres, les poissons, les fruits, les légumes.
- Modérez votre consommation d’alcool.
- Buvez de l’eau régulièrement tout au long de la journée.
- Augmentez votre activité physique au quotidien : préférez les escaliers aux ascenseurs et aux escalators, n’hésitez pas à vous déplacer à pied. Une heure de marche rapide permet de brûler autant de calories que la consommation de 20 à 30 cigarettes.
On peut aussi accepter de prendre quelques kilos que lʼon sʼefforcera de perdre plus facilement, quand le « problème » du tabagisme sera résolu.
Cet état de fait est lié à l’action de la nicotine sur le métabolisme :
un fumeur brûle un peu plus de calories qu’un non-fumeur.
Toutefois, si les substituts doublent vos chances de succès, ils ne suppriment pas la dépendance psychologique et comportementale, il faut donc désapprendre à fumer et retrouver un nouvel équilibre.
Par ailleurs, ils ne sont pas les seuls éléments du traitement : équilibrer votre alimentation, votre sommeil, maintenir votre activité physique… en font partie.
Dans les mois qui suivent l’arrêt du tabac, on peut remarquer une prise de poids de quelques kilos, mais cette prise peut varier d’une personne à l’autre. Si cela vous inquiète, n’hésitez pas à en parler à un médecin et à recourir aux conseils d’un diététicien ou d’un médecin nutritionniste.
Dʼune façon générale, il ne faut pas se mettre au régime en même temps que lʼon arrête de fumer : on ne peut pas tout faire à la fois !
Il sʼagit plutôt de respecter quelques règles de bon sens :
- Évitez les aliments gras (charcuterie, pâtisserie, certains fromages, plats en sauce).
- Préférez les viandes maigres, les poissons, les fruits, les légumes.
- Modérez votre consommation d’alcool.
- Buvez de l’eau régulièrement tout au long de la journée.
- Augmentez votre activité physique au quotidien : préférez les escaliers aux ascenseurs et aux escalators, n’hésitez pas à vous déplacer à pied. Une heure de marche rapide permet de brûler autant de calories que la consommation de 20 à 30 cigarettes.
On peut aussi accepter de prendre quelques kilos que lʼon sʼefforcera de perdre plus facilement, quand le « problème » du tabagisme sera résolu.