Contacter des extra-terrestres
L’exploration de l’invisible nous montre l’existence de mondes en nombre indéfini, peuplés d’une innombrable variété d’êtres,
L’exploration de l’invisible nous montre l’existence de mondes en nombre indéfini, peuplés d’une innombrable variété d’êtres,
ou centres énergétiques conscients. Certains de ces êtres entrent en communication avec le sujet par la pensée, l’éclairent et le guident dans son exploration, mais d’autres, au contraire, cherchent à le tromper ou à l’égarer. Cela dépend de la nature de ces êtres, de la qualité du milieu dans lequel le sujet s’est élevé, du but poursuivi par le sujet et de son état psychique. Aussi est-il nécessaire dans ces explorations de prendre garde à l’influence toujours difficile à démêler que ces centres conscients peuvent exercer sur les visions.
Le contrôle direct des descriptions faites par les sujets, facile dans le cas de double vue, n’est pas toujours possible par les visions rétrospectives ou prémonitoires, et devient inexécutable dans l’exploration du monde invisible. On peut alors se demander ce que valent les descriptions de la voyante et, en supposant même qu’elles comportent une part de vérité, comment on peut distinguer le vrai du faux et reconnaître le rôle de son imagination propre, c’est-à-dire de l’emploi qu’elle peut faire de son subconscient. Cette objection a arrêté beaucoup de chercheurs ; elle est cependant plus apparente que réelle et provient de ce que nous connaissons très mal le fonctionnement de l’imagination. Il y a tout intérêt à ne pas s’y arrêter : en effet, si on évite que le sujet ne travaille en imagination active, ce qui se fait aisément avec un peu
d’expérience, on obtient des images spontanées qui proviennent, soit d’une source inconnue, et, dans ce cas, elles sont toujours intéressantes à creuser, soit du jeu instinctif du subconscient comme dans le rêve. Mais là encore il y a matière à observation, car on se trouve dans des conditions qui permettent de guider le rêve, par conséquent de l’expérimenter et de déterminer ses lois, ce qui n’a pu être entrepris que très difficilement jusqu’ici. Il y a donc toujours intérêt à étudier le monde des images inconnues qui surgissent dans la voyance, non seulement parce qu’il peut en résulter la connaissance de lois nouvelles, mais encore parce que le sujet perçoit des impressions étranges et éprouve des émotions parfois très belles et très puissantes qui valent la peine de leur recherche.
Le contrôle direct des descriptions faites par les sujets, facile dans le cas de double vue, n’est pas toujours possible par les visions rétrospectives ou prémonitoires, et devient inexécutable dans l’exploration du monde invisible. On peut alors se demander ce que valent les descriptions de la voyante et, en supposant même qu’elles comportent une part de vérité, comment on peut distinguer le vrai du faux et reconnaître le rôle de son imagination propre, c’est-à-dire de l’emploi qu’elle peut faire de son subconscient. Cette objection a arrêté beaucoup de chercheurs ; elle est cependant plus apparente que réelle et provient de ce que nous connaissons très mal le fonctionnement de l’imagination. Il y a tout intérêt à ne pas s’y arrêter : en effet, si on évite que le sujet ne travaille en imagination active, ce qui se fait aisément avec un peu
d’expérience, on obtient des images spontanées qui proviennent, soit d’une source inconnue, et, dans ce cas, elles sont toujours intéressantes à creuser, soit du jeu instinctif du subconscient comme dans le rêve. Mais là encore il y a matière à observation, car on se trouve dans des conditions qui permettent de guider le rêve, par conséquent de l’expérimenter et de déterminer ses lois, ce qui n’a pu être entrepris que très difficilement jusqu’ici. Il y a donc toujours intérêt à étudier le monde des images inconnues qui surgissent dans la voyance, non seulement parce qu’il peut en résulter la connaissance de lois nouvelles, mais encore parce que le sujet perçoit des impressions étranges et éprouve des émotions parfois très belles et très puissantes qui valent la peine de leur recherche.