Entraînement à la lecture de la pensée
Le procédé qui vient d’être indiqué concerne l’entraînement à la double vue des localités ; il est de même pour la lecture de la pensée et la perception des caractères.
Le procédé qui vient d’être indiqué concerne l’entraînement à la double vue des localités ; il est de même pour la lecture de la pensée et la perception des caractères.
Il consiste à établir les associations nécessaires entre l’image de départ et la personne à étudier. Lorsque le sujet est convenablement entraîné, l’association se réduit à la simple prononciation du nom de celui qu’il doit visiter, même quand on ne le connaît pas et qu’on ne l’a jamais vu. Le nom fait immédiatement surgir l’aspect de la personne et en permet une description physique très exacte ; le sujet passe ensuite à l’examen moral et peut faire une peinture du caractère et des tendances aussi complète qu’on le désire. Le degré de précision des réponses dépend uniquement de sa culture littéraire. J’ai constaté maints cas où la personnalité était décrite avec une justesse supérieure à ce qu’en pouvaient dire ses intimes. Le fait qu’il suffit de prononcer simplement le nom d’une personne pour provoquer une peinture aussi approfondie qu’on le veut de sa nature, suscite un véritable étonnement chez ceux qui assistent aux manifestations de la double vue et provoque l’incrédulité chez les autres. On peut s’expliquer aisément la chose en se rappelant que le cerveau fonctionne comme un appareil de télégraphie sans fil et, de ce fait, peut s’accorder avec tel ou tel centre d’émission et de réception.
L’individualité qu’il s’agit d’examiner est un centre d’émission et de réception ; son nom constitue le mot qui présente le plus d’associations possibles dans son subconscient et qui met en jeu le plus d’images ; sa prononciation détermine une onde vibratoire qui réveille par affinité ses propres vibrations et engendre un courant qui le relie au sujet. La vitesse de propagation de ces ondes étant telle que la distance ne compte pas, tout se passe comme si le sujet était contre lui et dans son aura.
L’individualité qu’il s’agit d’examiner est un centre d’émission et de réception ; son nom constitue le mot qui présente le plus d’associations possibles dans son subconscient et qui met en jeu le plus d’images ; sa prononciation détermine une onde vibratoire qui réveille par affinité ses propres vibrations et engendre un courant qui le relie au sujet. La vitesse de propagation de ces ondes étant telle que la distance ne compte pas, tout se passe comme si le sujet était contre lui et dans son aura.