Le calcium réduit l’hyperémotivité
Le besoin journalier en calcium chez l'adulte étant d'environ 800 mg et celui en phosphore étant approximativement de 1 140 mg, le rapport calcium/phosphore est à peu près de 0,70.
Le besoin journalier en calcium chez l'adulte étant d'environ 800 mg et celui en phosphore étant approximativement de 1 140 mg, le rapport calcium/phosphore est à peu près de 0,70.
Durant l'enfance et l'adolescence, la grossesse, l'allaitement (production de lait dont la teneur en calcium est élevée), chez les vieillards, les besoins en calcium sont plus grands et la valeur du rapport oscille entre 1 et 1,5.
Il en résulte qu'il convient d'ajouter un supplément de lait et de fromage (gruyère surtout), qui sont des aliments riches en calcium, aux menus habituels s'ils sont destinés aux enfants, aux adolescents, aux futures mères, aux nourrices et aussi aux vieillards afin d'éviter les fractures spontanées et les décalcifications limitées, partielles ou généralisées.
D'autre part, c'est commettre une erreur fondamentale que de gaver les tuberculeux et les rachitiques de viande et d’oeufs, lesquels sont des aliments très phosphorés mais pauvres en calcium.
A tout excès de phosphore qui, répétons-le, joue un rôle important dans le fonctionnement du système nerveux, et, en particulier, dans l'exercice de la volonté, doit correspondre un appoint calcique. Signalons ici que l'on peut aujourd'hui, grâce à la thérapeutique calcique et opothérapique, diminuer l'hyperémotivité des uns et augmenter l'émotivité des individus inertes comme les myxoedémateux*, donc agir favorablement sur leur volonté.
Il en résulte qu'il convient d'ajouter un supplément de lait et de fromage (gruyère surtout), qui sont des aliments riches en calcium, aux menus habituels s'ils sont destinés aux enfants, aux adolescents, aux futures mères, aux nourrices et aussi aux vieillards afin d'éviter les fractures spontanées et les décalcifications limitées, partielles ou généralisées.
D'autre part, c'est commettre une erreur fondamentale que de gaver les tuberculeux et les rachitiques de viande et d’oeufs, lesquels sont des aliments très phosphorés mais pauvres en calcium.
A tout excès de phosphore qui, répétons-le, joue un rôle important dans le fonctionnement du système nerveux, et, en particulier, dans l'exercice de la volonté, doit correspondre un appoint calcique. Signalons ici que l'on peut aujourd'hui, grâce à la thérapeutique calcique et opothérapique, diminuer l'hyperémotivité des uns et augmenter l'émotivité des individus inertes comme les myxoedémateux*, donc agir favorablement sur leur volonté.